11 août 2014

Geocaching

      Une chasse aux trésors urbaine vous tente ? Je vous propose le Géocaching. En quoi cela consiste ? Il s'agit de retrouver une cartouche, une boite, une capsule, dissimulée dans divers endroits du monde, et parfois cachée dans de faux éléments de décor. Pour cela, il faut s'inscrire sur un site internet : https://www.geocaching.com/ et posséder un GPS, ou plus facilement, l'application disponible sur smartphones et tablettes. Une fois la géolocalisation faite, il ne vous reste plus qu'à sélectionner une " cache " plus ou moins proche de votre " Q.G " ( selon les motivations ), suivre la route et les indices pour trouver le trésor. Dans chaque cache se trouve un carnet de route qu'il faut dater, signer et parfois ajouter un petit objet qui constitue le trésor ( cette dernière étape étant facultative ). Ensuite, indiquez sur le site si la cache a été découverte ou non, un petit commentaire, et enchaînez sur d'autres planques.
      C'est une activité qui peut se pratiquer seul, entre potes ou en famille, mais toujours dans une certaine discrétion pour éviter que de petits plaisantins ( ou fouteurs de merde ) ne viennent retirer le trésor, le jeter ou simplement pourrir le jeu. Car C'EST un jeu ! Un jeu qui se pratique dans le monde entier comme... en Australie par exemple ;)


Cartouche contenant le parchemin de route et le trésor









Type de cachette



















      
      Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site disponible plus haut. N'hésitez pas à venir en discuter ici, ce sera un plaisir.


À bientôt, Dani K

08 juillet 2014

Concours de nouvelles 2014 - ville de Sisteron

      Voici un article très court sur un concours de nouvelles qui se déroulera dans la ville de Sisteron, du 1er Juin 2014 au 1er Octobre 2014. Pour toutes informations complémentaires, ou toutes participations, veuillez suivre ce lien : http://www.bonnesnouvelles.net/villedesisteron2014b.htm

      J'y présenterai une nouvelle macabre - Du sang sur les pages - pour laquelle il est possible de lire un extrait en cliquant sur la page " Histoires et autres facéties d'une comtesse sans visage ".

À bientôt, Dani K. 

18 mai 2014

Urban Exploration


      L'urbex est de loin la passion qui me procure le plus de sensations. Contraction de Urban Exploration que l'on traduit par Exploration Urbaine ( sans blague... ), elle consiste à se rendre dans des endroits abandonnés, privés ou non, et à capturer les clichés les plus intéressants, ayant pour but d'honorer un lieu, un patrimoine jadis "vivant". C'est du moins la vision qu'ont les personnes qui pratiquent cette activité. Une usine, une maison, un château, un bâtiment publique, il y a bon nombre de structures qui ne demandent qu'à se laisser visiter, moyennant tout de même une petite préparation.


Le côté maison hantée est très attrayant !!!

      Visiter un endroit abandonné ne doit pas être une sortie dominicale parce que tout le monde sait qu'on s'emmerde le dimanche. Il faut connaître un minimum le terrain par lequel on souhaite s'engager, et glaner le plus d'informations possible sur le lieu que l'on s’apprête à visiter. Par exemple, la photo ci-dessus provient d'une vieille tanneries dont la visite ne s'est soldé que par une petite partie des ateliers et des bureaux, car le bâtiment gigantesque du site était racheté "en morceau" par divers sociétés qui occupaient une bonne partie des endroits accessibles d'accès. De plus, deux gros molosses gardaient l'entrée d'un petit garage et gambadaient librement à travers tout le site. Je ne le verrai qu'à la fin de ma visite...



Vestige d'activité



      Il y a aussi d'autres présences potentielles sur un site. Des squatteurs, des membres d'un service de sécurité faisant des rondes, et parfois même, la police. Car avant tout, l'urbex est considérée comme une activité " clandestine ". C'est pourquoi il faut éviter les explorations en solitaire, et consacrer un peu de temps à recueillir le plus d'informations possible pour effectuer une bonne session. 
      Le matériel est aussi quelque chose de très important. Une trousse de secours, des cordages, de quoi téléphoner en cas d'urgences, tout cela pourra s'avérer fort utile dans les situations où l'endroit, meurtri par les âges ( et les pillards ), ressemble à un parcours du combattant. Il vous faudra souvent ramper, grimper, se tordre dans tous les sens pour accéder à la moindre pièce digne d’intérêt, mais sans ne jamais rien forcer ou détruire. Et c'est cette partie qui me plaît dans l'urbex. Cet espèce de "code moral" comme j'aime à dire fait de cette activité quelque chose de noble. Pas de pillage, de détérioration, de vandalisme pour entrer dans un lieu ( les squatteurs s'en sont généralement déjà occupés et laissent leurs marques sur les murs, quand ils ne défèquent pas sur le sol... ). C'est d'ailleurs pourquoi les adresses des lieux ne sont que trop rarement divulguées, et dans le cas où elles le sont, elles s'échangent majoritairement entre passionnés.

Usine de mise en bouteille

      L'arme de base d'une personne s'exerçant à l'urbex est son appareil photo. Pour ma part, étant donné que je ne tiens ni site, ni galerie d'images, je ne me serts que de mon smartphone et ne dispose de mes clichés que pour mon plaisir personnel, ou celui des curieux. Je chercherai peut-être prochainement un ou une partenaire particulièrement motivé(e).
      J'espère que ce petit article vous donnera envie de voir plus loin et pourquoi pas de vous y mettre. En attendant, voici quelques adresses de site que j'affectionne pour la qualité des photographies et le coté insolite des lieux.


http://www.urbexsession.com/
http://urbexfrance.fr/
http://totallyhaunted.com/

      Le dernier est plutôt basé sur des lieux abandonnés dit " hanté ", mais certains d'entre eux sont si impressionnant que je me devais de les poster ici.
      Pour finir, voici les dernières photographies prisent il y a peu. La cave d'une maison barricadée et l'entrée du parc Mirapolis, à l'intérieur duquel nous avons évité un exercice du G.I.G.N... 

 




 


Dani.K














27 février 2014

Il y a ceux qui m'inspirent... et il y a les autres

      Cet article parlera comme son titre l'indique de celles et ceux qui ne m'inspirent pas, mais dont les aides, les idées, les critiques ou encore le temps passé sur mes histoires les rendent absolument essentiels. Avant tout, je pense qu'il est préférable de ne pas m'inspirer lorsque l'on connait l'issue finale de 90% de mes personnages ! Morts, disparus, oubliés, maudits, fous, une pléthore de situations peu ragoutantes pour lesquels je n'oserai dire qu'elles me fussent inspirées par un quelconque individu partageant mon quotidien. 
      La première de ces personnes se nomme Natacha C. C'est elle qui, en plus de partager mon bordel, est ma correctrice "bénévole" ainsi que ma première lectrice. Son travail ( que je rends toujours très compliqué ) est d'autant plus louable car il occupe une bonne partie de son temps libre, et mérite le plus grand des mercis.
      La seconde personne que j'aimerais nommé ici est Aude I, que je considère comme ma lectrice principale. C'est vers elle que j'envoie l'intégralité de mes textes sous leur version ( presque ) finale. Je prends toujours en considération son avis, et c'est pourquoi Morsure subira une réécriture, et que Laura s'est vu gratifié de quelques petites retouches. Et qu'est-ce qu'on dit ? Merci Aude !!!
      En troisième position, je placerai tous ceux qui ont un jour pris ne serait-ce que  Five minutes alone      ( non non non, je ne pars pas dans un horrible " Franglais ", mais les aficionados reconnaîtront le clin d'œil ) pour lire un de mes textes et en fournir une critique, un avis ou encore une description. Le plus beau compliment reçu à ce jour restera celui de deux jeunes filles qui m'avouèrent leur avoir donné envie de lire... 
      Puis il y a les fausses idées que l'on me "suggère" et qui sont parfaitement impossibles à travailler, mais qui me provoquent toujours d'énormes fou-rires. Je pense notamment à un certain Joe et une histoire de taureau ( et je n'irai pas plus loin pour ne pas rendre cet article interdit aux mineurs ).
      Ensuite, et pour conclure, j'aimerai adresser un merci tout particulier pour Daniel Brément et son formidable enthousiasme.
      Voilà donc mon petit hommage pour tous ceux qui ne m'ont pas fait ouvrir mon carnet à idées et ne joueront ni à réveiller les morts, ni à déambuler dans une demeure hantée, et c'est bien mieux comme ça. Merci à eux !

Dani K

20 janvier 2014

Vive le Roi

      Si il m'arrive fréquemment de parler de toutes les personnes autour desquelles je construis mes histoires, l'ambiance de celles-ci est un peu moins évoquée. L'ambiance prend forme au travers des détails des lieux, de l'atmosphère, et tout ces petits éléments qui entourent les personnages et guident le lecteur dans les ressentis souhaités.
      Le moteur de mon inspiration concernant l'ambiance sombre, macabre, parfois malsaine de mes récits reste incontestablement le leader du Horror Heavy Metal ( et selon moi le pilier du concept-album ) : King Diamond.
Le roi du Danemark Kim Bendix Petersen


        Leader du groupe Mercyful Fate ( dont la pochette de l'album Melissa inspira la couverture de mon premier roman Morsure ), la carrière solo du King débute à la fin des années 80 avec l'album Fatal Portrait. S'en suivra une série de 12 albums de 1986 à 2007, chacun d'entre eux ayant une influence directe sur mon envie d'écrire des contes macabres. Les œuvres de King Diamond suivent le principe du "concept-album", c'est à dire que chaque disque suit une histoire ou un thème raconté au fil des chansons. Passant d'une voix d'outre tombe aux hurlements sur-aiguës, le King enchaîne une quantité de personnages divers et variés, encore plus impressionnant en live. Le travail de composition entre King Diamond et le guitariste Andy Larocque offre une véritable alchimie sur chaque album.



welcome home !!!

      Them raconte comment la grand-mère du King, de retour d'asile psychiatrique, révélera à celui-ci que leur maison "Amon" est hantée par des esprits qu'elle appelle " Them ". Du sang, des morts, des esprits et de la magie, le troisième opus studio de King Diamond s'ouvre sur une intro à flanquer la chair de poule à une statue de marbre.
http://www.youtube.com/watch?v=O8sl0tRBF6c
      Cet album m'inspirera chaque maison abandonnée ou hantée décrite dans mes histoires.



      Il y a peu de temps, je voulais consacrer mon quatrième manuscrit à cet artiste. Il devait s'agir d'un recueil de contes ( un peu à la manière d' " Il fut autrefois " ) où chacun d'entre eux serait présenté par un homme dont la description que je faisais de lui, lui ressemblait trait pour trait. Mais une inspiration doit rester une inspiration et ce qui, pour moi, paraissait être un hommage, devenait une copie manuscrite du DVD The Puppet Master où le King raconte l'histoire de chaque titre présent sur l'album. J'optais donc pour une comtesse sans visage pour illustrer mes contes. En revanche, l'un d'entre eux sera une sorte de suite indirecte à l'album. De plus amples informations concernant ce livre apparaîtront sur la page le concernant lorsqu'il sera achevé.


Midniiiiiight !


      D'autres album comme The eye, Fatal Portrait, le culte Abigail ont bien sûr influencé mon travail, et mon vœux le plus cher serait d'écrire une biographie de cet homme. Mais ce n'est qu'avec ce modeste article et les clins d’œil dispersés entre mes pages que mon hommage prend concrètement forme.
      Les initiales de mon nom en tant qu'auteur ( Dani Karrde ) son l'inverse de King Diamond. Ce petit geste étant parfaitement voulu, je dévoilerai la signification de ce pseudo dans un prochain article.





      Bien que la voix sur-aiguë de King Diamond soit un frein pour les non initiés, je vous recommande toutefois de jeter un coup d’œil aux différentes vidéos disponibles sur Youtube ( si le lien posté plus haut ne se met pas en surbrillance, n'hésitez pas à vous rendre tout de même sur ce site et lancer la recherche avec le titre proposé : Out of the asylum. Ça vaut le détour ). Et pour les plus curieux sur www.kingdiamondcoven.com
      Le dernier titre en date est un duo avec le groupe Volbeat nommé Room 24. Bien que très peu familier avec ce dernier, le côté "punchy" du titre pourrait peut-être séduire les moins réceptifs à la musique du Roi.
      Très court article de la part d'un fan absolu de King Diamond, j'en conviens, mais comme ce n'est pas le genre de la maison de recopier Wikipedia, je conclurai mon hommage par cet aveux : mon allégeance au King est total =)


06 janvier 2014

Dans mon carnet à spirale

      Drôle d'idée que d'écrire un article sur un vieux calepin Oxford en piteux état ! Mais bon, après tout ce n'est pas plus idiot que publier des photos de sa propre bagnole en lui donnant des petits noms ( le plus triste, c'est que j'ai déjà vu ce types d'images... ). Alors il n'y a aucune raison pour que je ne rende pas hommage à ce carnet qui reçoit la base de chacune de mes histoires, et ne quitte que trop rarement la poche arrière de mon pantalon.

      Débordant d'encre noire entre les pages, chaque idée de contes, nouvelles ou romans y est confinée dans un désordre certain. Car en réalité, je commence une nouvelle histoire uniquement sur la base du feeling, à partir du moment où elle se déroule toute seule dans ma tête. Ensuite vient le plan, diverses recherches si besoin, et on attaque la première page. Il m'arrive donc de noter une idée sur ce calepin, et ne pas l'exploiter avant plusieurs mois. Un petit signe devant les histoires "bouclées", un point d'interrogation finissant quelque chose d'exploitable, des symboles ( et même la recette de l’hypocras donnée par le beau-frère d'une amie ), le tout griffonné dans une écriture proche du hiéroglyphe qui pourrait donner du fil à retordre aux plus éminents égyptologues.

      Avant d'investir dans ce carnet, je notais mes idées sur tout et n'importe quoi : ticket de caisse, boite de mouchoirs en carton, rebords de magazine. Le P.Q doit finalement se sentir soulagé d'avoir échappé à  mes coups de crayons...

      Un bon nombres de futurs textes attendent leur moment pour émerger de ces pages, tandis que les idées trop confuses et celles qui sentent le "déjà-vu" y sont simplement rayées.

      J'espère continuer à noircir ses pages le plus longtemps possible et à y inscrire autant de titres, de noms, et de situations qu'il me sera donné d'écrire.

Dani Karrde
   

26 décembre 2013

Présentation

      Avant tout passionné de musique ( culture métal essentiellement ), je fus contrains d'abandonner mes projets de guitariste de groupe pour me concentrer sur un art où l'on ne dépend que de soi pour créer et réaliser un projet concret.
 Je suis donc retourné vers mon premier amour, le dessin, mais ne savais pas vraiment où aller.
 Alors en 2005 j'ai commencé à griffonner quelques contes n'excédants pas cinq pages et qui racontaient, par exemple, la journée type d'un détraqué sentimental traquant sa voisine la nuit avant de l'assassiner elle et sa conquête d'un soir. 

Très vite, j'eus l'envie d'intégrer des gens de mon entourage dans mes histoires. 

Grosse erreur dans un premier temps puisque la première nouvelle que j'écrivis dans la foulée ( au titre évocateur de : "Zombi" ) ne comportait presque que des dialogues.
 La relire me procure encore d'énormes fous rires tant elle est construite comme une histoire de série B.
Le second fut un roman sur l'histoire d'une monarchie vampirique qu'un groupe d'anarchistes tentent de renverser par le sang.
À force d'exercices et d'incalculables heures d'écriture, j'accouche en 2012 de mon premier rejeton " il fut autrefois " pour lequel les critiques furent plutôt encourageantes. Un premier roman, Morsure que je garde précieusement afin de le peaufiner avant présentation et courant 2013 l'écriture de ma nouvelle actuelle que j'espère présenter en fin de cette même année.
D'autres publications paraîtront via différents articles que je mettrai à jour au fur et à mesure.
Dani Karrde.